Les ESI et l’anglais |
Dans ce témoignage, Elena Rogers, malgré son nom anglais — mais qui explique peut-être ses nombreuses fautes en français —, s'inquiétait en août 2011 de l'arrivée des cours d'anglais dans le cursus IFSI :
La difficulté - « On se demande encore [si le cursus] est réalisable en trois ans au vu du [peu] d'heures prévues dans l'emploi du temps ? »
Les « dérives » de certains IFSI - « Pour certains IFSI, la difficulté de trouver des professeurs d'anglais acceptant de se déplacer et de faire ces cours un peu particulier les a conduits à utiliser un logiciel informatique appelé Tell me More. Ce logiciel (pas du tout axé sur le milieu médical) permettait de valider les deux premiers semestres suivant le temps de connexion. On se rappellera tous de certaines dérives : temps passé dessus sans chercher à comprendre quoi que ce soit, relais passé à un copain/copine/frère/sœur qui avait un peu pus de temps libre devant lui... »
Pourtant, elle n'en reste pas moins optimiste : « Ça reste intéressant à
Elena ainsi a bien compris les enjeux :
- La confrontation avec des contenus en anglais - « L'un de ses nombreux buts est de faire des futures infirmiers des soignants capables de lire et éventuellement d'écrire des articles médicaux et/ou paramédicaux en lien avec la profession. En effet, la profession infirmière s'est énormément développée dans les pays anglophones, notamment au Canada et aux Etats-Unis, et on y trouve de nombreuses publications. »
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La présence accrue d'anglophones dans les hôpitaux - « Il y a eu un patient anglais dans le service il y a deux semaines. A part "bonjour,
"bonsoir" et "assis", je dois reconnaitre que ce n'était pas brillant : toute l'équipe s'en est sortie avec une sorte de mélange
franco-anglais plus ou moins
compréhensible. »
En guise d'exercice de français, consultez la page d'Elena et corrigez-y les fautes (orthographe, grammaire et ponctuation).
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