Je suis en train de rédiger la suite de ma série de billets sur la traduction en S4,
entamée
ici, et leur nombre ne cesse d’augmenter, car je m’aperçois, au fur et à
mesure des thèmes abordés, qu’il y a tant à dire sur le sujet et qu’ils peuvent
chacun se découper en plusieurs volets. Cela dit, le phénomène ne devrait pas
étonner puisque la traduction est un
véritable métier qui demande plusieurs années d’entraînement intensif avant de
pouvoir se pratiquer avec aisance.
Cela ne veut pas dire qu’il n’est pas possible, à votre niveau, de parvenir à une traduction de qualité, mais simplement que cela vous prendra nécessairement plus de temps. (Cela suppose également une bonne maîtrise de l’écriture du français, j’y reviendrai.)
Cela veut dire en revanche qu’on n’attend pas de vous, dans l’absolu, des traductions dignes d’un professionnel, puisque ce ne sera pas votre métier, et que les textes anglais qui vous seront soumis seront aussi choisis pour leur niveau de difficulté faible ou modéré.
Cela ne veut pas dire qu’il n’est pas possible, à votre niveau, de parvenir à une traduction de qualité, mais simplement que cela vous prendra nécessairement plus de temps. (Cela suppose également une bonne maîtrise de l’écriture du français, j’y reviendrai.)
Cela veut dire en revanche qu’on n’attend pas de vous, dans l’absolu, des traductions dignes d’un professionnel, puisque ce ne sera pas votre métier, et que les textes anglais qui vous seront soumis seront aussi choisis pour leur niveau de difficulté faible ou modéré.
L’objectif de cette
série de billet consiste à vous donner, non pas comme d’habitude essentiellement
des références (il y en aura aussi), mais surtout des « trucs » de
traducteurs, qu’on n’apprend pas (d’ordinaire) en cours d’anglais au lycée.
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