Je viens de découvrir une fonction de Google Traduction (Google
Translate) : la synthèse vocale.
Il suffit de choisir l’anglais comme langue source, de coller un texte dans la case en dessous, puis de cliquer sur le bouton Ecouter (voir copie d’écran), sans s’occuper de la traduction à droite.
Je trouve que, pour de la synthèse vocale, le résultat est excellent. La lecture est « plate », évidemment, mais convient très bien aux textes que vous avez à travailler de S4 à S6. Elle est évidemment moins adaptée à un dialogue, par exemple.
Il suffit de choisir l’anglais comme langue source, de coller un texte dans la case en dessous, puis de cliquer sur le bouton Ecouter (voir copie d’écran), sans s’occuper de la traduction à droite.
Je trouve que, pour de la synthèse vocale, le résultat est excellent. La lecture est « plate », évidemment, mais convient très bien aux textes que vous avez à travailler de S4 à S6. Elle est évidemment moins adaptée à un dialogue, par exemple.
Remarques
- Vous noterez (peut-être) que la « voix » a un accent britannique. Il semble qu’il s’agisse d’une évolution assez récente. Si je devais avancer une explication, je dirais que cette modification est peut-être intervenue dans un souci de meilleure compréhension pour le plus grand nombre. En effet, un accent britannique standard est parfois jugé plus compréhensible pour des non-Américains. C’est ainsi que les responsable de l’aéroport Kennedy de New York (JFK) ont décidé il y a quelques dizaines d’années de diffuser les annonces aux passagers avec un accent britannique.
- Google se permet parfois de proposer une correction au texte collé — de quoi je me mêle ? —, en particulier s’il comporte des apostrophes typographiques.
- Si vous voyez apparaître « Tinli aniqlash » sur le bouton qui devrait normalement afficher « Détecter la langue » (voir copie d’écran), ne vous inquiétez pas : c’est un Easter egg de Google. « Tinli aniqlash » veut dire « Détecter la langue »… en ouzbek !
- Pensez aussi à la fonction Google de prononciation d'un mot (isolé), dont j’ai parlé dans un précédent billet.
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